• Dalida

     

    DALIDA

    Dalida, de son vrai nom Iolanda Cristina Gigliotti, née le 17 janvier 1933 au Caire et morte le 3 mai 1987 à Paris, est une chanteuse et actrice italienne naturalisée française, ayant chanté et joué en italien, en français, en arabe égyptien, en hébreu, en anglais, en espagnol, en allemand, en néerlandais, en arabe libanais, en grec et en japonais.

    Issue d'une famille italienne installée en Égypte, elle est élue Miss Égypte 1954, et tourne des films au Caire, avant de s'installer en France. Devenue progressivement une chanteuse de renommée mondiale, elle interprète 2 000 chansons et obtient 70 disques d'or. En particulier, elle est la première à recevoir un disque d'or (pour Bambino en 1956: informations douteuses), un disque de platine (1964) et un disque de diamant (1981) ; elle reçoit également deux fois l'Oscar mondial du succès du disque (1963 et 1974), ainsi que le prix de l'Académie du disque français (pour Il venait d'avoir 18 ans en 1975).

    Alors que sa vie privée est ponctuée de drames, elle tombe en dépression et se suicide à l'âge de 54 ans, quelques mois après avoir été l'actrice principale du film dramatique Le Sixième Jour.

    Dalida est l'artiste française la plus récompensée du show business et demeure une icône mondiale de la chanson se classant parmi les six chanteuses les plus populaires au monde, avec plus de 170 millions de disques vendus à travers le monde. Avec Édith Piaf, elle est la chanteuse populaire française qui a le plus marqué le XXe siècle, selon un sondage Ifop de 2001.

    Biographie  : 

    - Du Caire à Paris

    Iolanda Gigliotti naît le 17 janvier 1933 à Choubra (faubourg aux portes du Caire) de parents italiens (originaires de Serrastretta, dans la Calabre). Son père, Piétro Gigliotti (1904-1945), est premier violon à l'Opéra du Caire ; elle le suit en coulisse lors de ses répétitions, entonnant des airs d'opéra. Sa mère, Filomena d'Alba, est couturière. Elle est la seule fille d'une famille de trois enfants : Orlando est l'aîné ; son frère cadet, Bruno, est né en 1936 (par la suite, il prendra pour nom de scène Orlando, le prénom de son frère aîné, et deviendra l'agent artistique de Dalida).

    Elle étudie dans une école religieuse de Choubra et fait ses premiers pas sur scène dans le club de théâtre de l’école. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, son père, comme tous les immigrés italiens, est interné dans le camp de Fayed, près du Caire. Tous les deux mois, elle lui rend visite, mais le voit progressivement dépérir. Il revient du camp en 1944 avec des migraines et l'amertume de sa carrière gâchée. Toute la famille devra subir son instabilité psychologique. Il meurt d'une congestion cérébrale un an plus tard.

    Après avoir travaillé dans la maison de couture Donna où elle devient mannequin, elle remporte en Égypte quelques concours de beauté, dont le titre de « Miss Égypte 1954 », et tourne dans plusieurs films de série B. Puis à l'âge de 21 ans elle gagne Paris dans l'espoir de faire carrière dans le cinéma. Mais elle prend rapidement conscience du fait que son maigre bagage ne pèse rien aux yeux des producteurs français et s'oriente alors vers la chanson. Après des cabarets de second ordre , elle passe à la Villa d'Este, dans un répertoire à l'exotisme latin. Au début de sa carrière, Iolanda Gigliotti a pour nom de scène « Dalila », mais ce pseudonyme faisant trop penser aux mythiques Samson et Dalila, elle le change très vite en «  Dalida  ».

    À la fin de l'année 1933, elle est plongée dans le noir (bandage porté 40 jours sur les yeux selon les recommandations du médecin) à cause d'une infection des yeux. Cet accident de santé provoquera chez elle de violents maux de tête et un strabisme convergent que plusieurs interventions chirurgicales (y compris à l'âge adulte) atténueront, mais qui l'oblige à porter des lunettes jusqu'à 16 ans, âge auquel elle les jette pour se prouver qu'elle est belle malgré ce strabisme.

    - Carrière musicale

    Dalida en 1954.
     

    À la recherche de nouveaux talents pour son music-hall, Bruno Coquatrix remarque Dalida à la Villa d'Este et au Drap d'Or (restaurants-cabarets parisiens). Il lui suggère de participer à un concours pour amateurs, « Les Numéros 1 de demain », organisé à l'Olympia le 9 avril 1956. Sont présents Eddie Barclay, jeune producteur de disques (qui vient d'importer le disque microsillon des États-Unis en France), et Lucien Morisse, directeur des programmes d'Europe 1. Ce dernier, subjugué par le charme oriental de Dalida, la convoque dans ses bureaux de la rue François-Ier et prend sa carrière en main.

    Le 28 août 1956 sort le premier 45 tours de Dalida, Madona, une adaptation française d'un titre portugais d'Amália Rodrigues, Barco Negro. Après le succès mitigé de ce disque et du deuxième, La Violeterra, sorti en octobre, Lucien Morisse pense avoir déniché le titre phare de Dalida, Bambino, reprise d'une chanson de Marino Marini (Guaglione), qui était initialement prévue pour la vedette en place, Gloria Lasso. Morisse bloque la chanson, la fait enregistrer en une nuit et la fait passer toutes les heures à l'antenne d'Europe 1. Bambino se vend ainsi à un demi million d'exemplaires, reste plus d'un an au hit-parade et est premier disque d'or. Sur sa lancée, Dalida partage, quelques semaines plus tard, la même scène de l'Olympia, en première partie du spectacle de Charles Aznavour, puis en vedette américaine de Gilbert Bécaud. Elle sera par la suite tête d'affiche à l'Olympia en 1961, 1964, 1967, 1971, 1974, 1977 et 1981.

    Lucien Morisse, qui l'épouse le 8 avril 196115, en fait rapidement une immense vedette populaire, grâce à des succès comme Come prima, Gondolier, Les Gitans, Histoire d'un amour, J'ai rêvé, Les Enfants du Pirée, Romantica. Son répertoire, très méditerranéen, plait aux Français. La chanteuse, surnommée « mademoiselle Juke-Box », devient la première artiste à ouvrir son fan-club. Au même titre que Brigitte Bardot, elle devient un véritable modèle pour les jeunes filles.

    Il s'agit avec Lucien Morisse non pas d'un mariage d'amour, mais plutôt d'un acte de reconnaissance envers celui qui a fait d'elle une vedette. Aussi vit-elle dès le début de son mariage une liaison, de 1961 à 1963, avec l'artiste-peintre Jean Sobieski. Lucien Morisse tente de stopper la carrière de Dalida, qui fait alors l'objet de critiques et intimidations. Elle persévère néanmoins et Lucien Morisse reconnait son triomphe personnel à l'Olympia en décembre 1961. Leur divorce est prononcé en 1962.

    Les années 1960 voient l'arrivée d'une vague de jeunes chanteurs, la génération yéyé. Bon nombre de vedettes des années 1950 tombent dans l'oubli mais Dalida parvient à résister à cette nouvelle vague, en se reconvertissant, à contre cœur, au twist et autres nouvelles modes qui alors séduisent le jeune public avec des succès tels que T'aimer follement, Itsi bitsi petit bikini, La leçon de twist, Garde-moi la dernière danse, Le jour le plus long, Le petit Gonzalès, Chaque instant de chaque jour, Amour excuse-moi (Amore scusami), La danse de Zorba, ou encore Il Silenzio (Bonsoir mon amour). C'est durant cette période que, en 1964, elle se métamorphose physiquement en se teignant les cheveux en blond. En 1965, un sondage Ifop indique qu'elle est la chanteuse préférée des Français. La seconde partie de la décennie fait place à une nouvelle Dalida, avec des textes tels que Les grilles de ma maison, Ciao amore, ciao , Mama, Le temps des fleurs, Zoum Zoum Zoum, etc. En 1968, Dalida reçoit entre autres la médaille de la présidence de la République des mains de Charles de Gaulle.

    En 1970, Arnaud Desjardins lui fait découvrir la philosophie orientale. Elle hésite à arrêter sa carrière. Elle décide finalement de continuer à chanter, mais change de répertoire et interprète Avec le temps de Léo Ferré, Mamina de Pascal Danel et Je suis malade de Serge Lama, ainsi que des titres originaux comme Il venait d'avoir 18 ans, Ta femme. Elle ne renoncera pas pour autant aux grands succès populaires à l'instar de Darla Dirladada, Parle plus bas (Le Parrain), Paroles… Paroles… (en duo avec Alain Delon), Gigi l'Amoroso. Cette dernière chanson, sorte de comédie musicale, est la plus emblématique de son répertoire. Numéro 1 dans douze pays, elle bat un record de vente au Bénélux (détenu jusqu'alors par Frank Sinatra avec Strangers in the night). La décennie des années 1970 est également la décennie des Olympia à succès pour la chanteuse, qui retrouvera son public dans la salle mythique parisienne à trois reprises, 1971, 1974 et 1977.

    En 1975, Dalida est la première artiste française à s'initier au mouvement disco. Son album Coup de chapeau au passé, regroupant des chansons telles que J'attendrai ou encore Bésame mucho occupe la place au sommet des hits-parades. En 1978, elle enflamme deux soirs de suite le Carnegie Hall de New York. Elle enregistre aussi Femme est la nuit, Génération 78, Le Lambeth Walk, et Laissez-moi danser (Monday, Tuesday), important tube disco en 1979.

    Dalida crée un succès en 1977. Inspiré par un folklore égyptien, Jeff Barnel réarrange ce qui deviendra un véritable hymne au Moyen-Orient : Salma ya salama. Dalida enregistre la chanson en français, en arabe égyptien, en italien et même en allemand.

    Ayant refusé, à deux reprises, un contrat exclusif avec les États-Unis, elle obtient toutefois une ovation mémorable au Carnegie Hall de New York en décembre 1978 et au Shrine Auditorium de Los Angeles en octobre 1986.

    Les années 1980 débutent avec un spectacle au Palais des sports de Paris. Dalida revient à des textes plus intimistes, tels que Il pleut sur Bruxelles, À ma manière ou encore Mourir sur scène, qui connaît un grand succès.

    Vie personnelle difficile

    Pourtant, en dépit de cette réussite professionnelle, la chanteuse n'est guère heureuse dans sa vie personnelle.

    Elle est tout d'abord très marquée, à l'âge de 12 ans, par la mort prématurée de son père au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, qu'il a passée dans un camp de prisonniers, étant italien dans un pays sous domination anglaise (l'Italie fasciste était alors ennemie de la Grande-Bretagne). Ses relations avec son père étaient difficiles et elle s'en voulut plus tard de ne pas l'avoir mieux connu. La biographe Catherine Rihoit explique les déboires sentimentaux de Dalida par le fait que l'artiste a cherché son père dans les différents hommes de sa vie.

    À l'âge adulte, plusieurs épreuves se sont succédé dans la vie de Dalida, notamment après sa courte liaison avec l'acteur et peintre Jean Sobieski, de 1961 à 1963 – un des rares hommes de sa vie à ne pas avoir trouvé la mort dans des circonstances tragiques. À la suite de sa séparation d'avec Jean Sobieski, Dalida connaît une histoire amoureuse avec Christian de La Mazière, journaliste. Leur relation prend fin en 1966. Il restera un ami fidèle de la chanteuse.

    Le 26 janvier 1967, Dalida participe au Festival de San Remo avec Luigi Tenco, le nouvel homme de sa vie ; sous l'emprise conjuguée de l'alcool et de calmants, ce dernier échoue et le titre, Ciao amore ciao, n'est pas retenu par le jury. Profondément déçu, le jeune chanteur se suicide en se tirant une balle dans la tête dans sa chambre d'hôtel24. Inquiète, Dalida se rend à l'hôtel et découvre le corps de son compagnon. Ils avaient décidé, ce soir-là, d'annoncer leur projet de mariage à leurs proches15. Le 16 février 1967, elle interprète Ciao amore ciao avec l'intention de chanter pour la dernière fois. Dix jours plus tard, le 26 février, elle tente de mettre fin à ses jours par une surdose de barbituriques, à l'hôtel Prince de Galles à Paris. Retrouvée inanimée, elle reste cinq jours dans le coma et sa convalescence dure des mois. Elle ne peut remonter sur scène qu'en octobre de la même année pour un concert à l'Olympia.

    Le 11 septembre 1970, son pygmalion et ancien mari Lucien Morisse, avec lequel elle avait gardé de très bons rapports, se suicide d'une balle dans la tempe, dans des circonstances assez troubles, dans leur ancien appartement situé au 7 rue d'Ankara à Paris.

    Son grand ami, le chanteur Mike Brant, se donne à son tour la mort le 25 avril 1975. Dalida lui avait permis de chanter en première partie de son Olympia à l'automne 1971 et avait contribué à son succès en France. Elle avait été la première à se rendre au chevet du chanteur israélien lors de sa première tentative de suicide, le 22 novembre 1974.

    Le 18 juillet 1983, Richard Chanfray, qui fut son compagnon pendant neuf ans, de 1972 à 1981, met fin à ses jours avec sa nouvelle compagne, près de Saint-Tropez, par inhalation des gaz d'échappement de sa voiture.

    Un autre drame a également marqué la chanteuse : en décembre 1967, tout juste remise de sa première tentative de suicide, elle rencontre un étudiant romain, Lucio, âgé de 18 ans. L'histoire ne dure pas ; elle se retrouve enceinte et le jeune homme la pousse à avorter. L'opération, réalisée en Italie dans des conditions clandestines (l'avortement n'etait pas autorisé), la rend stérile, ce dont elle souffrira énormément.

    La période de crise traversée à partir de 1967 correspond à un changement d'orientation dans sa carrière. Parallèlement, Dalida entame une thérapie et lit Teilhard de Chardin et Freud. Par ailleurs, entre 1969 et 1971, Dalida a pour compagnon le philosophe et écrivain Arnaud Desjardins mais, celui-ci étant marié, ils préfèrent mettre fin à cette liaison. Vers 1972, elle a une courte relation avec le chanteur Richard Stivell, qui lui avoue être déjà marié.

    Après sa rupture avec Richard Chanfray, Dalida a encore quelques compagnons. Au moment de son décès, Dalida est en couple avec François Naudy, un médecin rencontré en 1985. Encore une fois, la déception est au rendez-vous, ce dernier se montrant de plus en plus fuyant au fil du temps.

    Au cœur de la vie privée de Dalida se trouve également une relation présumée avec François Mitterrand, qui lui fut prêtée dès 1979. Cette liaison est notamment démentie par Orlando, qui indique que leur relation n'a été que d'amitié. Dalida, qui se définissait comme gaulliste dans sa jeunesse, fait partie des artistes apportant leur soutien au candidat socialiste lors de l'élection présidentielle de 198130. Cette prise de position (elle précise néanmoins avoir soutenu un homme et non un parti) la dessert professionnellement et provoque, pendant quelques années, la division de son public, qu'elle ne réunira tout à fait qu'après sa mort. En 1983, des journalistes s'interrogent sur l'éventuelle signification politique de la bise échangée avec Jacques Chirac dans une soirée privée de Line Renaud. En réponse, Dalida affirme être apolitique et ne chanter que pour son public.

    Fin de vie

    Durant la dernière année de sa vie, revenant du tournage du Sixième Jour dans lequel elle a interprété la lavandière Saddika à laquelle elle s'identifiait, coupée de son public jusqu'à la rentrée 1987 pour cause de préparation d'une comédie musicale (dans laquelle elle devait jouer le rôle de Cléopâtre) et d'une pièce de théâtre, Dalida tombe dans une profonde dépression. Elle se produit pour la dernière fois en concert en Turquie les 26, 27 et 28 avril 1987, à Antalya, au théâtre antique d'Aspendos.

    Cachant de plus en plus difficilement le désespoir qui l'habite sous le bonheur exprimé par certaines de ses chansons, elle finit par se suicider par surdose de barbituriques dans sa maison du 11 bis rue d'Orchampt (quartier de Montmartre), dans la nuit du 2 au 3 mai 19879,10,32. Elle laisse deux lettres, l'une à Orlando et l'autre à son compagnon François Naudy, ainsi qu'un mot, sans doute à l'attention de son public : « La vie m'est insupportable. Pardonnez-moi ». Elle est inhumée le 7 mai 1987 au cimetière de Montmartre (division 18).

    Héritage

    Dalida intéresse dans de nombreux domaines : le cinéma, la chanson (Charles Aznavour lui consacre De la scène à la Seine, en 2000) et la télévision (un téléfilm, sobrement nommé Dalida, est diffusé en deux parties sur France 2 en 2005 et réalisé par Joyce Buñuel, avec Sabrina Ferilli dans le rôle titre) lui rendent hommage. Au théâtre, Joseph Agostini et Caroline Sourrisseau écrivent Dalida, à quoi bon vivre au mois de mai ?, une fantaisie onirique et surréaliste sur la chanteuse, jouée par Elsa Zadkine aux Ateliers Théâtre de Montmartre en 2005. Le nom de Dalida est mentionné dans des paroles de chanson : dans "Les fatigués de naissance" de Henri Genès, et dans "Oh quelle nuit" de Sacha Distel.

    Dalida s'est investie dans plusieurs causes. Elle a notamment pris part à la lutte contre le sida. Elle a défendu les radios libres en étant la marraine de la radio NRJ et en soutenant son ami Max Guazzini. Elle a été, de son vivant et jusqu'après sa mort, une icône de la culture homosexuelle, défendant la gay-pride et étant proche d'artistes et hommes politiques homosexuels tels que Pascal Sevran et Bertrand Delanoë..

    Plaque de rue de la place Dalida à Montmartre, Paris
     

    Une place porte aussi son nom à Paris, non loin de la rue d'Orchampt, où elle résidait.

    En 1997, pour les dix ans de sa mort, les disques de la chanteuse se vendent à 1,2 million d'exemplaires. Les festivités sont nombreuses lors du vingtième anniversaire de sa mort, en 2007 ; la mairie de la ville de Paris consacre, dans ses murs, une exposition d'images et de sons pour rappeler le souvenir de cette chanteuse, qui fut aussi une représentante de la capitale.

     

    J'ai connu  la vie (tragique) de Dalida dans un film historique (tiré de faits rééls bien sûr) y a bien longtemps, et c'est donc là que je l'ai entendu chanter la plus part de ses chansons... Depuis ce jour, elle faisait parti de mes artistes préférés parmi les plus grands, en particulier pour les chansons françaises, bien qu'elle ait aussi chanté de belles chansons dans d'autres langues.

     

    Voici qlq'uns de ses titres parmi toutes ses nombreuses chansons (vidéos + paroles pour certains):

     

     

     

     

     

     

    « Louane en concert !Garou »
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

  • Commentaires

    2
    Lundi 7 Mars 2016 à 19:33

    Bonjour Rémi,

    comme à ton habitude tu nous a fait un superbe hommage à cette très très grande dame de la chanson Française. C'est vrai que c'était et c'est toujours une véritable icône . Tout comme Édith Piaf, sur laquelle tu avais également fait un très bel hommage , elle est immortelle. Nous entendons encore aujourd'hui sur certaines radio ses tubes . Oui une grande dame.

    Merci pour elle Rémi

    bien amicalement

    claude cool

      • Mardi 8 Mars 2016 à 11:32

        Bonjour Claude,

        Comme à chaque fois que tu laisses un commentaire, c'est toujours un plaisir de te lire ! yes Oui, c'est vrai, Dalida était une grande dame et elle restera pour toujours une icône de la chanson française, tout comme Edith Piaf et Michel Berger que tu as commenté également avec les bons mots...cool Mais parmi les plus grands artistes il y a aussi Daniel Balavoine, et bien d'autres encore qui ont disparus bien trop tôt, et à qui je pense également.

        Merci à toi d'avoir laissé un beau message sur cet article !

        Amicalement,

        Rémi smile

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :